Retour en images et en bons mots sur la carrière de Lino !Un fort-à-bras au c½ur gros comme ça, tel est Lino Ventura.Un acteur populaire Lino Ventura, c'est d'abord une histoire personnelle né à Parme, il grandit à Montreuil, fait le coup de poing contre les « anti-macaronis » et se destine à une carrière de lutteur, puis un exceptionnel parcours au sein du cinéma français d'après-guerre.Adoubé par Gabin sur le tournage de Touchez pas au grisbi, il incarne les durs pour la grande joie du public. Les succès s'enchaînent (Le Gorille vous salue bien, Les Tontons flingueurs, Les Barbouzes, Le Clan des Siciliens, L'Armée des ombres, L'Emmerdeur, Garde à vue) mais le destin frappe durement l'acteur, père d'une petite fille « pas comme les autres ». Il fonde alors l'association « Perce-neige » pour venir en aide aux familles confrontées au handicap.
Une nouvelle collection de livres de ciné Après Audiard et Belmondo, bienvenue à Ventura ! Le parcours de l'acteur y est traité de façon chronologique, émaillé de pages thématiques, de portraits de famille, de zooms sur les films importants de sa carrière le tout ponctué d'anecdotes inédites ou méconnues.
LE PARCOURS DE 4 MONSTRES SACRÉS DU 7ÈME ARTParcours croisés dans la filmo de Gabin, Ventura, Delon et BelmondoUne histoire de quatre monstres sacrés, celle de leur rencontre, de leurs tournages, de leur amitié et de leurs coups de gueule toute une époque !
Après son exil aux États-Unis, Gabin est en perte de vitesse. Un film va relancer sa carrière et installer pour longtemps sa figure de patriarche dans le paysage cinématographique français : Touchez pas au grisbi (1954), un film de gangsters à la française. Parmi ses partenaires, un trentenaire italien à la carrure impressionnante fait avec prudence ses premiers pas devant la caméra de Jacques Becker : Lino Ventura. Les deux hommes sympathisent immédiatement et enchaînent les tournages : Razzia sur la chnouf (1955), Le rouge est mis (1957) Pendant ce temps, deux jeunes comédiens ambitieux font leurs débuts chez Marc Allégret (Sois belle et tais-toi, 1958) : Alain Delon et Jean-Paul Belmondo. Rapidement, ils croisent la route de leurs glorieux aînés : auréolé du succès d'À bout de souffle (Godard, 1960), Belmondo partage l'affiche de Classe tous risques (Claude Sautet, 1960) avec Ventura, puis se fait adouber par Gabin lors du tournage d'Un singe en hiver (Verneuil, 1962). Delon a déjà sympathisé avec l'ex-catcheur lors du tournage du Chemin des écoliers (1959) mais c'est à Henri Verneuil qu'il doit sa rencontre avec le « Vieux », son partenaire dans Mélodie en sous-sol (1963).
Un voyage fascinant au coeur du cinéma français, des années 1950 à la fin des années 1970, qui voient la production de films cultes : Ascenseur pour l'échafaud, Le Gorille vous salue bien, Plein soleil, Le Président, Les Tontons flingueurs, Cent mille dollars au- soleil, Le Deuxième Souffle, Paris brûle-t-il ?, Les Aventuriers, La Piscine, Le Cerveau, Le Clan des Siciliens, Borsalino, Un flic, Deux hommes dans la ville, L'Affaire Dominici « Gabin aurait pu avoir un jeune frère spirituel, c'était Alain Delon, et puis deux fils, Jean-Paul et moi » Alain Delon
L'équipe du premier podcast français sur le cinéma récidive avec un nouvel opus. Nouveaux films, nouveaux classiques à (re)découvrir, nouvelles pépites amoureusement dénichées, nouveaux grands moments du 7e art... Mais l'objectif, lui, est toujours le même : réveiller vos écrans avec un autre cinéma, une sélection fouillée qui voyage à travers tous les continents et tous les genres, de 1907 à 2021, du Chili au Japon, du documentaire au film d'action - en passant par la comédie, le brûlot politique, l'OVNI inclassable...
100 films méconnus, oubliés ou en marge... à voir d'urgence !
Tour à tour décrite comme artiste conceptuelle, photographe, vidéaste et même détective, Sophie Calle a développé une pratique immédiatement reconnaissable, alliant le texte à la photographie pour nourrir une narration qui lui est propre. Elle fait désormais partie des plus grandes artistes du XXIe siècle.
Elle était une fois le cinéma...
Née en 1889, Jeanne Roques dite Musidora est la « Première Vamp » de l'histoire du cinéma. En 1915, les murs de Paris se couvrent d'étranges affiches sur lesquelles apparaissent une femme cagoulée ainsi que les mentions « Qui ? Quoi ? Quand ? Où ? »... C'est le lancement de la série cinématographique « Vampires ». La France découvre alors Musidora, une « bombe sexuelle », qui va hanter les toits de Paris...
Depuis que Gina s'est mise en tête de restaurer ce vieux cinéma des Cornouailles, sa vie a repris des couleurs. La gelateria de ses grands-parents est toujours là, dans le hall Art Déco. L'impatience, aussi, de réouvrir aux côtés de Ben, son ami d'enfance, ce lieu mythique de leur jeunesse. Seulement l'argent vient bientôt à manquer... Adieu les sorbets glacés, la soirée Dirty Dancing, le nouveau parfum à la cerise... Le Palace serait-il voué à fermer définitivement le rideau ? Envers et contre tout, Gina et Ben s'accrochent à leur happy ending...
Le plus beau des cinémas est toujours celui de son enfance. Mais il faut dire que le Palace, avec sa belle façade Art Déco décatie et sa vue imprenable, est une merveille en soi. Si Gina, trentenaire londonienne, l'aime tant, c'est aussi que le hall abrite la « gelateria » de ses grands-parents. Or, tout comme le cinéma, la boutique menace de fermer ses portes. De retour en Cornouailles, la jeune femme compte bien mettre à profit cette parenthèse pour les rénover. Et pourquoi pas, relooker sa vie ! Glaces à l'italienne et fauteuil pour deux... Demandez l'programme !
Mine s'ennuie lorsqu'arrive Poka : « On va au cinéma, mets ta veste, petite Mine. » Poka attend Mine... Qu'est-ce qu'elle fabrique. « Ah, non ! Pas tes peluches, Mine ! » « Mais Poka, elles n'ont jamais été au cinéma ! ».
Un beau livre pour célébrer une figure mythique du cinéma américainUn beau livre pour célébrer une figure mythique du cinéma américain une filmographie exceptionnelle de 80 films en tant qu'acteur (Le Jour le plus long, Pour une poignée de dollars, Le Bon, la Brute et le Truand, L'Inspecteur Harry) et de plus de 40 films signés en tant que réalisateur (Un frisson dans la nuit, Bird, Impitoyable, Sur la route de Madison, Les Pleins Pouvoirs, Space Cowboys, Mystic River, Million Dollar Baby, Gran Torino, Invictus, La Mule, Le Cas Richard Jewell)
Depuis sa création, le cinéma regorge d'oeuvres maudites qui, lors de leur sortie en salles, ont déchaîné les passions bien qu'elles aient aussi enflammé le box-office. Le scandale étant souvent le moteur du succès...
Griffith, Eisenstein, Buñuel, Renoir, Autant-Lara, Clouzot, Vadim, Fellini, Pasolini, Kubrick, Godard, Oshima, Scorsese, Ferreri, Blier, Peckinpah, Boisset, Cronenberg, Haneke, von Trier... Tous auraient pu reprendre à leur compte la devise du Canard enchaîné adaptée au 7ème Art : « La liberté de filmer ne s'use que quand on ne s'en sert pas ».
Souvent, avec le temps, ces films choquants, jugés indignes, sont réhabilités, voire encensés. Au point d'être considérés comme des « classiques » qu'il serait aberrant de ne pas avoir vus au moins une fois dans sa vie. A contrario, certains opus qui choquèrent naguère ne choquent plus guère des années plus tard. Parce que la société a évolué, les moeurs ont changé.
Tour d'horizon, de 1915 à nos jours, de 80 très bons films parmi les plus scandaleux !
De Naissance d'une nation de David Wark Griffith à Grâce à Dieu de François Ozon.
Un livre illustré pour retracer le parcours d'un acteur populaire, Jean-Paul Belmondo Un livre illustré pour retracer le parcours d'un acteur populaire, Jean-Paul Belmondo Une filmographie émaillée d'½uvres à la fois mythiques (À bout de souffle, Léon Morin prêtre, Pierrot le fou) et grand public (L'Homme de Rio, Un singe en hiver, Le Magnifique, L'As des as, Peur sur la ville), de portraits de famille (Jean Gabin, Charles Gérard, Jean-Pierre Marielle, Jean Rochefort), de thématiques fortes (« Un sportif accompli », « Une jeunesse sur les planches ») et de jeux
La bible sur les aventures cinématographiques de James Bond pour accompagner à l'heure de sa sortie le 25e opus de la sagaAprès un an d'attente, covid oblige, le prochain James Bond, intitulé Mourir peut attendre (No Time To Die) sortira sur les écrans le 2 avril 2021. Pour accompagner cet événement le 25e film de la série , Guillaume Evin, le spécialiste de James Bond, propose de revisiter l'intégrale des productions cinématographiques mettant en scène l'espion le plus célèbre de sa Majesté. Une analyse complète et passionnante pour plonger au c½ur d'une saga unique, riche d'une incroyable longévité et de palpitants rebondissements.
Saviez-vous qu'Alfred Hitchcock refusa de tourner le premier opus de la saga, préférant se consacrer à Psychose ? Que sur Dr. No, Sean Connery, qui détestait les araignées, fut doublé pour la scène de la mygale et que son malheureux doubleur au torse velu dut refaire deux fois la prise ? Que l'auteur de Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl, participera au scénario d'On ne vit que deux fois ? Qu'il faudra plus de six ans après l'ère Dalton pour relancer la série ? Que Skyfall fut le film le plus rentable de la saga ?